Salut irabienoupas
Une petite bière après le boulot, et c'est dans la poche
Nan, sans plaisanterie, c'est un sujet complexe, qui n'a aucune réponse toute faite
Ça dépend vraiment de plusieurs facteurs, notamment:
- le poste sur lequel on atterri (type de mission, encadrement ou pas...)
- l'environnement de travail, la taille de la structure
- les aspects humains et le relationnel, notions très subjectives et propres à chacun.
C'est marrant, car moi, contrairement à la dernière phrase de ton intervention, j'ai plutôt le sentiment que je me suis intégré à ma hiérarchie et mon environnement professionnel via mes connaissances sur mes missions (même si j'y connaissais vraiment rien en arrivant en poste, mais j'étais très curieux de savoir comment les collègues bossaient). J'ai vite trouvé des sujets et des angles communs avec mes collègues, sur lesquels on se devait de partager nos visions. L'intégration s'est ainsi plutôt rapidement faite en ce sens.
C'est très con à dire, mais les moments de convivialités (type pause café, ou repas du midi, etc...) peuvent également jouer un rôle important dans l'intégration au service et à la structure.
J'ajouterais un autre constat: ne pas hésiter à aller voir ou recevoir les gens avec qui on travaille. Le téléphone, c'est bien, les mails, c'est pratique, ok. Mais force est de constater que les relations de travail s'améliorent grandement dès qu'on a pu mettre un visage sur la personne et partager quelques échanges de visu.
Concernant les relations avec les organes de direction, là il n'y a pas de secret: ça se fait par la prise à bras le corps des dossiers à traiter. C'est bien beau d'assister à un Codir (ou plus), mais tant qu'on ne traite pas des dossiers, l'intérêt de nos directeurs est très minoré. Et puis tout dépend de la structure. Je caricature à peine, mais un A chargé de mission dans une structure de 400 personnes n'est qu'un rédacteur de fiches pour son directeur, alors qu'un A dans une structure plus faible a une visibilité plus forte auprès de son organe décisionnel.
Mais là encore, les cas sont déclinables à l'infini!