Toujours dans le registre les mystères de l oral, j ai eu l occasion de discuter cash avec des cadres sup qui ont déjà fait passer des oraux blancs...
Ils m ont confié qu effectivement, ils ne donnent pas forcément leur ressenti réel aux préparants, et c est toute la difficulté de l exercice : essayer de donner des conseils constructifs sans destabiliser voire décourager avant le jour J
De leur propre aveux, il leur est arrivé d'avoir des preparants qui n ont - selon eux - pas l ombre d une chance d y arriver, avec tte la bonne volonté du monde...que leur dire ? Lâchez l affaire, mettez-vous au tricot ?
Encore une fois, je relève des interventions dans lesquelles, on ne comprend pas d avoir eu une mauvaise note en ayant répondu juste à quasiment toutes les questions : je le dis avec un brin d humour, mais le problème, c est qu on est pas a "question pour un champion". Le jury est la recherche d agents, qui connaissent l environnement dgfip, certes, mais également dynamiques, capables de s adapter, d animer une équipe, naturels, loyaux, et cie
D ailleurs, la formation initiale, sauf erreur, a été repensée en ce sens, on ne cherche plus des "sachants", mais des communicants...le coefficient de l epreuve orale confirme d ailleurs l importance qui y est accordée...
Comprenons-nous bien, pour ceux qui n ont pas eu ma chance cette année et qui s interrogent sur leur résultat a l oral, il me semble, MAIS CA N EST QUE MON AVIS, que c est une erreur de faire une fixette sur le nmr du jury ou le nombre de bonnes réponses qu on a donné...
Il faut arriver le jour J avec la conviction qu on fera un bon inspecteur, travailler sur soi en amont, qualités/défauts, demander l avis sincère de proches, car l image qu on de soi n est pas toujours celle que l on renvoie...
Voilà