1-3) Le délais de séjour minimum est mis en pause, donc ça ne change rien, si ce n'est augmenter le délais encore plusLyannaSt a écrit : ↑01 déc. 2020 13:24 Bonjour,
Vous avez une idée des possibilités offertes pour échapper à une première affectation qui ne convient vraiment pas ?
J'ai pensé :
1) disponibilité (de droit pour suivre un conjoint). Inconvénient : impossibilité de participer au mouvement national tant que le délai de séjour court toujours c'est ça ?
2) temps partiel +++ (de droit avec RQTH ?). Le délai de séjour est bien consommé dans ce cas ? Impossibilité de travailler à côté si j'ai bien suivi.
3) détachement/mise à disposition : possible alors que le délai de séjour n'est pas encore consommé ?
4) postuler en centrale dans les services en province (faut que ça tombe bien...)
5) autre ?
Mille mercis d'avance
2) Le temps partiel n'allonge, ni ne raccourcis pas le délais de séjour minimum. C'est comme être en à temps plein. Vous resterez donc le même nombre d'années dans les mêmes conditions.
4) Le plus pratique mais aussi le plus aléatoire car il faut être pris. Les postes de centrale en province ne sont pas légions pour le moment. Avec la démétropolisation cela changera peut être mais à son rythme...
5) Ne pas passer le concours si vous n'êtes pas prêt à bouger au moins temporairement